Cette série met en scène la vie de la famille Crawley et de leur domesticité à Downton Abbey, une demeure édouardienne dans les années 1910 (la série commence en 1912). Les héritiers de Downton Abbey ayant péri lors du naufrage du Titanic, la famille Crawley se retrouve dans une position délicate, les trois descendantes ne pouvant prétendre au titre de Lord Grantham. Or, le titre, le domaine et la fortune de la famille sont indissociables. Matthew Crawley, nouveau successeur et lointain cousin, arrive à Downton Abbey. Il y découvre un style de vie nouveau, avec des règles très strictes qui régissent la vie entre aristocrates et serviteurs.
Dowton Abbey était parfaite pour mes critères du moment : une série fortement conseillée et intégralement disponible sur Netflix. Petit bonus sympa : le nombre de récompenses de la série, largement saluée par la critique. Je me suis donc laissée tentée par le parfum britannique...
Et quelle merveilleuse surprise !
Il m'aura fallu un seul épisode pour tomber sous le charme des Crawley et de leurs drames familiaux. Entre amours, amitiés, trahisons, coups bas, secrets et déshonneurs, on se rend compte de la chance qu'on a de vivre à notre époque.
Nos mœurs n'ont plus rien à voir avec les leurs - la série débute en 1912 et s'achève en 1925. Nous découvrons la vie de l'époque, pour les aristocrates comme les serviteurs. Le contexte historique est très intéressant, puisqu'on suit le quotidien de cette famille avant, pendant et après la Première Guerre Mondiale. On assiste aux tragédies et aux miracles, à l'avancée de la médecine, à la prise d'indépendance des femmes, aux absurdités relatives aux héritages, à la complexité de la justice. D'après moi, c'est une série qui défend les opprimés et dénonce les inégalités, mettant en mauvaise posture les traditions de l'époque qu'on trouverait ridicules aujourd'hui.
Tous les sujets sont abordés à travers les différentes classes sociales, on finit par adorer les personnages que l'on a détesté et vice-versa. Les personnages sont tous plus intéressants les uns que les autres, interprétés avec brio - même si ma préférence va pour l'exceptionnelle Maggie Smith !
Les costumes sont magnifiques, les décors somptueux, la musique... LA MUSIQUE... Oui, il est possible de tirer les larmes rien qu'avec des notes au piano et quelques accords de violons (même si c'est peut-être pas comme ça qu'on le dit, c'est ma chronique, je l'écris comme je veux). Et pourtant, il en faut beaucoup pour me faire pleurer, mais là... Osez me dire que toute la série vous a laissé indifférent, on va voir si vous pouvez me la sortir sans trembler des genoux celle-là !
Pourquoi tu t'énerves, Dame Seli ?
Je m'énerve pas, j'explique. ♡
Le scénario est parfait et nous tient en haleine du début à la fin, alors que les épisodes font entre 45 minutes et 1h40... En d'autres termes, il s'agit de mon dernier coup de foudre ⚡ série ! J'ai entendu dire que le scénariste est également auteur de roman et j'ai bien envie de me laisser tenter. Affaire à suivre, donc !
Et quelle merveilleuse surprise !
Il m'aura fallu un seul épisode pour tomber sous le charme des Crawley et de leurs drames familiaux. Entre amours, amitiés, trahisons, coups bas, secrets et déshonneurs, on se rend compte de la chance qu'on a de vivre à notre époque.
Nos mœurs n'ont plus rien à voir avec les leurs - la série débute en 1912 et s'achève en 1925. Nous découvrons la vie de l'époque, pour les aristocrates comme les serviteurs. Le contexte historique est très intéressant, puisqu'on suit le quotidien de cette famille avant, pendant et après la Première Guerre Mondiale. On assiste aux tragédies et aux miracles, à l'avancée de la médecine, à la prise d'indépendance des femmes, aux absurdités relatives aux héritages, à la complexité de la justice. D'après moi, c'est une série qui défend les opprimés et dénonce les inégalités, mettant en mauvaise posture les traditions de l'époque qu'on trouverait ridicules aujourd'hui.
Tous les sujets sont abordés à travers les différentes classes sociales, on finit par adorer les personnages que l'on a détesté et vice-versa. Les personnages sont tous plus intéressants les uns que les autres, interprétés avec brio - même si ma préférence va pour l'exceptionnelle Maggie Smith !
Les costumes sont magnifiques, les décors somptueux, la musique... LA MUSIQUE... Oui, il est possible de tirer les larmes rien qu'avec des notes au piano et quelques accords de violons (même si c'est peut-être pas comme ça qu'on le dit, c'est ma chronique, je l'écris comme je veux). Et pourtant, il en faut beaucoup pour me faire pleurer, mais là... Osez me dire que toute la série vous a laissé indifférent, on va voir si vous pouvez me la sortir sans trembler des genoux celle-là !
Pourquoi tu t'énerves, Dame Seli ?
Je m'énerve pas, j'explique. ♡
Le scénario est parfait et nous tient en haleine du début à la fin, alors que les épisodes font entre 45 minutes et 1h40... En d'autres termes, il s'agit de mon dernier coup de foudre ⚡ série ! J'ai entendu dire que le scénariste est également auteur de roman et j'ai bien envie de me laisser tenter. Affaire à suivre, donc !
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