samedi 8 juillet 2017

Assassin's Creed #1 : Renaissance - Oliver Bowden


Trahi par les familles dirigeantes d'Italie, un jeune homme se lance dans une épique quête de vengeance. Afin d'éliminer la corruption et de rétablir l'honneur des siens, il deviendra un assassin. Il fera appel à la sagesse de grands esprits comme Léonard de Vinci ou Nicolas Machiavel, car il sait que sa survie dépend des dons qu'il doit développer. Aux yeux de ses alliés, il représente le changement car il combat pour la liberté et la justice. Mais ses ennemis le considèrent comme la pire des menaces car il a voué son existence à la destruction des tyrans qui oppriment le peuple d'Italie. Ainsi commence une histoire de pouvoir, de vengeance et de conspiration. La vérité s’écrit dans le sang. 
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Étant partie en vacances avec ma liseuse, j'ai encore pioché dans ma Pile À Lire, et plus précisément dans les achats effectués durant la #GrosseOP de Milady !
C'est la curiosité qui m'avait poussée à prendre ce premier tome de la saga Assassin’s Creed, tiré de la franchise de jeu vidéo éponyme. Je n'y ai jamais joué, mais j'avais envie de m'essayer à cet univers, surtout suite à la sortie du film... que je n'ai pas vu. Je ne vais donc faire aucune comparaison, il y en a assez sur la toile !

Je ne vais pas passer par quatre chemins : j'ai abandonné cette lecture au bout de 95 pages.
En survolant quelques chroniques, j'ai cru comprendre que le livre reprend exactement les actions du jeu et que donc, si on y a joué, il n'y a pas d'élément de surprise ; je vous rassure, il n'y en a pas plus quand on n'y a pas joué.

L'histoire est tellement prévisible que je me suis ennuyée tout au long des six chapitres que j'ai eu peine à finir... Une guerre des clans en Italie, à la Roméo et Juliette, mais sans Juliette. On a même droit au côté théâtral, dans les répliques et faits et gestes des personnages... Sauf que ça décrédibilise complètement les scènes.
Je ne me suis attachée à aucun personnage : on les voit si peu qu'on en n'a pas le temps ! Le seul qui reste en permanence dans la narration est Ezio, et malgré les trahisons et la persécution dont il est victime, je n'ai pas réussi à le prendre en pitié... Les émotions ne sont pas transmises comme elles le devraient au vu de la gravité de la situation !
En toute honnêteté, je crois que le style de l'auteur y est pour beaucoup. Je n'ai pas adhéré dès le départ, mais j'ai voulu laisser sa chance au livre... Dommage. L'histoire avait du potentiel.

J'ai longtemps hésité avant de lâcher l'affaire, mais de toute évidence, ce livre n'est pas fait pour moi.

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