Carter et Sadie Kane ont cinq jours pour sauver le monde. Ils doivent trouver Le Livre de Rê. Hélas, l'ouvrage du dieu du soleil est éparpillé aux quatre coins de la planète. Heureusement, Horus apparaît en rêve à Carter : une partie de l'artefact est exposé au musée de Brooklyn pour quelques heures encore. Tout est paisible dans la galerie des antiquités égyptiennes quand Carter et Sadie y pénètrent par effraction. C'est la nuit, les dieux de pierre et les monstres sculptés semblent sommeiller pour l'éternité.
À peine après avoir fermé le premier, j'ai tout de suite plongé dans le second tome des Chroniques de Kane.
Encore une aventure incroyable entre Brooklyn, Londres et le Caire. Les personnages principaux n'ont pas le temps de souffler : trois jours seulement s'écoulent au cours de ces 450 pages (environ). C'est intense et on ne s'ennuie pas une seconde. J'ai trouvé l'action plus intéressante que dans le premier (peut-être grâce à des personnages secondaires plus intrigants). Carter et Sadie Kane sont fidèles à eux-mêmes, heureusement pour l'un, malheureusement pour l'autre... Je n'apprécie toujours pas Sadie, à croire qu'elle fait tout pour que je la déteste... Ça m'attriste d'autant plus que l'auteur avait fait de très bons persos féminins dans les précédentes séries. Tant pis.
La mythologie est un peu plus développée ici et j'ai eu un peu moins de mal à suivre. Du coup, histoire de ne pas oublier ce que je viens d'apprendre, j'enchaîne avec le tome 3 !
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